From Paris with love (sortie le 17 février 2010)

From Paris With Love

Réalisé par Pierre Morel
Sortie le : 17 février 2010
Durée : 1 heure 33
Genre : Action-espionnage

From Paris with love (sortie le 17 février 2010) From_love2

From Paris with love (sortie le 17 février 2010) From_love2

*Synopsis :
James Reese est l’assistant personnel de l’ambassadeur américain à Paris. C’est un "insider" qui est fréquemment contacté par les Forces Spéciales. Il lui arrive de leur rendre des petits services. C’est une situation très frustrante pour lui qui rêve de devenir un vrai agent secret pour sortir de l’ombre et jouer les gros bras. Dans la capitale française un sommet international se prépare. A cette occasion le miracle arrive enfin. On lui confie une vraie mission avec un vrai équipier, Charlie Wax, qu’il récupère le jour même à l’aéroport. Mais pour James, la confrontation avec les méthodes pas toujours politiquement correctes de cet agent sur entraîné me sera pas de tout repos.

*Casting :
-John Travolta : Charlie Wax
-Jonathan RHYS-MEYERS : James Reese
-Kasia Smutniak : Carolina
-Richard Durden : Ambassadeur Benneington
-Amber Rose Revah : Nichole
etc…

- Source (notes de productions et interviews des artistes et de l'équipe:)
http://www.commeaucinema.com/notes-de-prod/from-paris-with-love,111447

-Le site officiel :
http://www.frompariswithlove-lefilm.com/

* Bande annonce: cheers

http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=18945050&cfilm=135259.html

From Paris with love : 3ème au box-office américain! cheers

Dans le box-office Nord Américain ,le film From Paris with Love est
troisième juste derrière Avatar! king

Pour les spectateurs romands, il va falloir attendre le 24 février avant de pouvoir découvrir le film de Pierre Morel. Embarassed

Palmarès US du box-office:

1. "Dear John" : 32.4 millions $US
2. "Avatar" : 23.6 millions $US
3. "From Paris With Love" : 8.1 millions $US
4. "Edge of Darkness " : 7 millions $US
5. "The Tooth Fairy " : 6.5 millions $US
6. "When in Rome " : 5.5 millions $US
7. "The Book of Eli " : 4.8 millions $US
8. "Crazy Heart" : 3.7 millions $US
9. "Legion " : 3.4 millions $US
10. "Sherlock Holmes" : 2.6 millions $US

Sources: mon blog ! Very Happy

Quelques nouvelles de l'avant première du film: Very Happy

Bonne nouvelle pour tout les fans de Jonathan et John Travolta, ils sont
en ce moment en France pour la promotion de leur nouveau film , From Paris with love.

En effet, lundi, John Travolta s'est posé avec
son avion privé à l'aéroport du Bourget. C'est une avant-première un
peu particulière car elle se passe en banlieue Parisienne dans le 9-3.(département 93 pour ceux qui n'auraient pas capté!) Razz

Ce choix n'a pas été fait au hasard car le film devait être normalement
tourné dans ce lieu. Il avait finalement été produit dans les Yvelines
car les voitures du film avaient été incendiées. Evil or Very Mad

Mais pour l'avant
première, pas de problèmes, elle se passera bien à Rosny-sous-bois, là
ou se passe le film. Il y aura John Travolta, Jonathan Rhys Meyers et Luc Besson ( c'est Europa Corp qui à produit le film). 1600 personnes ont déjà réserver leur billets. Exclamation

"C'est la seule avant-première organisée en banlieue en présence de l'équipe du film" à précisé l'attaché de presse au journal "Le Parisien" .

Source: mon blog study

Interview de Jonathan , à propos de son personnage:

-Pour quelles raisons avez-vous accepté ce projet ?
J’ai lu le scénario et c’était le genre de films que je voulais faire. Je voulais travailler avec Pierre Morel car j’avais vu Taken. Je voulais aussi travailler avec John (Travolta), Luc (Besson) et Virginie (Besson-Silla). Du coup, cela me semblait un film à faire. J’avais en plus la possibilité d’interpréter un personnage avec une âme d’enfant, car même si Reese est un adulte responsable, il a une manière bien particulière de concevoir le métier d’espion qui, me semble-t-il, est plutôt basée sur celle des comic books. Il y a un côté enfant chez lui et pourtant, au fur et à mesure que From Paris with love avance, il réalise que tout cela n’a rien à voir avec les voitures de James Bond, les beaux costumes et les opérations top secret. C’est sale, sanglant et dégoûtant, c’est le monde réel.

-« Un homme pour toujours coincé dans les coulisses de l’action » : est-ce une sensation qu’un acteur peut parfois ressentir ?
Je ne sais pas. Enfin dans ce cas précis oui, je pense. Le personnage de Reese l’est parce qu’il veut être impliqué dans l’action mais en fait il va être témoin de l’action et découvrir à quel point cela peut être dangereux et sale, et du coup il va commencer à se poser des questions. De son côté un acteur qui n’a jamais été dans l’action, je veux dire qui n’a jamais tenu de rôles dans un film d’action, peut le devenir indirectement en regardant les autres acteurs jouer dans ce genre de films. En revanche, dès qu’il va interpréter un rôle d’action, il en voudra toujours plus et reviendra rarement sur ses choix. Mon personnage est du genre à vouloir réaliser son rêve mais ce rêve va justement se transformer en cauchemar. Donc effectivement je pense qu’il y a un parallèle avec le métier d’acteur.

-Comment décririez-vous Reese ?
Il a une certaine complexité mais cela ne se voit pas tout de suite. Ce n’est pas un personnage qui est brûlé par ses contradictions. Il a du cœur. C’est un optimiste par nature qui veut toujours voir le meilleur en chacun d’entre nous.

-Vous semblez en général avoir une vision précise de la psychologie des personnages que vous interprétez. Etait-ce le cas pour un personnage de fiction comme Reese ?
Oui. Dans le scénario original Reese venait de Chicago mais je l’avais plutôt imaginé venant de Williamsburg ou de Brooklyn. J’avais aussi une idée de ce qu’avait pu être son enfance, son éducation, sa scolarité... Il n’a pas été à Harvard ou dans une université de ce type mais plutôt dans un collège universitaire. Il a appris le mandarin grâce à des cours du soir pour accéder à une catégorie professionnelle supérieure. Il s’est créé une façade. Quand il parle avec Wax, Reese a un accent new-yorkais alors qu’il prend un accent américain classique quand il parle avec l’ambassadeur.

-A l’extérieur, vous portez souvent un masque et vous devenez celui ou celle que vous pensez devoir être ou représenter.
La première fois que votre personnage regarde Wax bouger, il est comme hypnotisé. L’étiez-vous par John Travolta ?
Je ne dirais pas hypnotisé mais je suis vraiment fan de John. C’est quelqu’un d’extrêmement généreux, de très chaleureux. Cela fait longtemps qu’il fait des films et du coup il a énormément d’histoires à raconter et d’expériences à partager. En résumé, un mec génial, qui a un niveau de gentillesse pas comme les autres en plus d’être une icône. Et je dis cela sans flagornerie aucune. Quand il rencontre Wax, Reese est à la fois choqué et hypnotisé parce que Wax ne correspond pas du tout à ce qu’il attendait. Il pensait rencontrer quelqu’un de propre sur lui alors qu’en fait Wax semble tout droit sorti d’un club de biker en Floride. Il porte des bijoux chromés et a une personnalité extravagante. De mon côté je n’avais aucun préjugé sur John. Nous avons été chanceux parce que l’alchimie entre nous a été immédiate.

-Comment définiriez-vous la relation « buddy movie » que votre personnage avec Wax ?
En fait c’est une sorte de relation d’amitié entre un adulte et un étudiant. James Reese doit passer au-delà de pas mal de trucs ringards et pas très moraux, alors qu’il est très attaché à l’éthique. On peut dire que c’est un « buddy movie » dans lequel vous avez des personnages qui ont des idéaux différents, tout en ayant un objectif commun qui est d’aller de l’avant.

-Avez-vous une méthode particulière pour interpréter vos personnages ?
Si quelqu’un me demande d’expliquer ma façon de jouer, je ne suis pas certain de pouvoir trouver les mots pour l’exprimer, c’est quelque chose de très instinctif. Même si on a toujours en tête une certaine méthode, dans la mesure où je n’ai jamais pris de cours de comédie, cela reste très spontané chez moi.

-Pouvez-vous nous en dire plus sur votre partenaire féminine, Kasia Smutniak, qui est encore inconnue en France ?
Kasia est une fille adorable. Elle est polonaise, je suis irlandais et il y a d’étranges similitudes entre nous. C’est aussi une actrice exceptionnelle de part son professionnalisme, ce qui est assez rare chez un ancien top model. C’était vraiment un plaisir de travailler avec elle. À mon avis les gens vont l’adorer dans From Paris with love et je pense que beaucoup de propositions vont suivre. En tout cas, je l’espère pour elle car elle a beaucoup à offrir.

-Avez-vous suivi une préparation physique pour le rôle ?
Je n’ai pas eu beaucoup de temps pour me préparer. Je venais juste de finir les Tudors après dix sept semaines de tournage et j’ai enchaîné directement sur From Paris with love. Mais j’étais plutôt en forme physiquement, étant donné que je travaille très dur et que j’ai beaucoup d’énergie.

-Etiez-vous excité à l’idée de jouer dans un film d’action pour la première fois ?
Excité oui mais c’est difficile . J’entends par là que lorsque vous tournez dans un film d’action, les meilleurs moments sont pour moi les scènes où vous jouez uniquement la comédie et les scènes d’action sont compliquées et longues à tourner.

-Comment décririez-vous Pierre Morel en tant que réalisateur ?
Je pense que Pierre est fou dans le bon sens du terme. C’est un excellent technicien, un excellent réalisateur, quelqu’un de facile à vivre, qui travaille très dur et qui a énormément d’énergie. Il est intelligent. Je me sens très à l’aise avec lui.

-Quelle est l’ambiance sur un tournage français ? Des différences avec un tournage aux Etats-Unis ?
C’est différent par définition dans la mesure où vous travaillez dans un pays étranger. J’ai d’ailleurs pas mal travaillé dans des pays où je ne parlais pas la langue. Mais cette équipe française était vraiment particulière. Il y régnait une ambiance de camaraderie du fait qu’ils avaient déjà tous travaillé ensemble, qu’ils se connaissant tous bien. Et ils ont vraiment été adorables avec moi.

-Le scénario multiplie les blagues sur les clichés français: obsédés sexuels, machos, mangeurs de cuisses de grenouilles, des femmes sexy...vérité ou mythe ?
Je ne pense pas que vos hommes soient machos. Cela étant, je ne suis pas une femme et je n’ai pas à gérer le chauvinisme des hommes. En général, c’est moi qui suis chauvin ! Des femmes sexy en France ? Il y a de très jolies femmes en France. C’est aussi la raison pour laquelle un cliché est un cliché, parce qu’il y a toujours une part de vérité dans un cliché. Penser que la France est remplie de magnifiques femmes accros au sexe ! C’est formidable !

-Quelle est la séquence que vous êtes impatient de voir à l’écran ?
Je n’ai pas vu les rushes des séquences de voitures mais j’attends avec impatience de voir ces scènes montées. Cela étant, ce qui est bizarre quand on fait un film, contrairement à une série TV qui est diffusée chaque semaine, c’est qu’il faut attendre parfois une année, voire deux, avant de voir le résultat. Vous avez l’impression de travailler sur un projet, mais de n’a voir rien à montrer et puis un jour, vous allez à une avant-première et c’est votre film. Vous vous dites : « C’est moi ça ? Vraiment ? Est-ce que je ressemble réellement à cela ? » C’est comme regarder des photos de vous bébé...

-Regardez-vous souvent le combo ?
Oui effectivement, je le regarde souvent pour vérifier que je ne fais pas des choses stupides. Lorsque j’étais jeune acteur, j’avais l’habitude d’agiter mes mains dans tous les sens et du coup maintenant je regarde le combo pour être sûr que je ne le fais plus...

-Quel est votre meilleur souvenir sur ce tournage ?
J’ai énormément de souvenirs. Je ne suis pas sûr de pouvoir en choisir un en particulier, à part vous dire que j’ai passé un super moment et que j’ai hâte de revoir toute l’équipe. J’espère que vous apprécierez From Paris with love, en tous cas j’ai adoré le faire.

=} Source:
http://www.commeaucinema.com/notes-de-prod/from-paris-with-love,111447-note-75159

Entretien croisé de Jon ...et John :

"-Comment décririez-vous votre relation ?

Jonathan Rhys Meyers : En réalité, je ne savais pas si le courant allait passer entre nous avant que nous nous rencontrions et que le tournage ne démarre. Et en fait le transfert d’énergie s’est opéré tout de suite. John est incroyablement chaleureux, ouvert et humainement très généreux. Du coup, je savais que j’avais quelqu’un en face de moi qui avait du répondant et avec qui ce serait facile de travailler. Mais de tout cela, je n’en ai eu la certitude qu’au premier tour de manivelle…

John Travolta : Jonathan et moi avons la même façon d’appréhender le jeu de comédien, d’une manière que je qualifierais de « primaire ». Notre confiance est mutuelle, nous sommes à l’aise ensemble et nous mettons la même énergie à faire exister une scène. Après vous pouvez passer les meilleurs moments du monde sur un tournage mais la vérité est à l’écran. Dans le cas précis, je pense, après avoir vu quelques rushes montées, que cela fonctionne plutôt bien entre nous.

-Etiez-vous familier avec le travail de l’un et de l’autre ?

John Travolta : Je connaissais bien le travail de Jonathan car j’ai le privilège de pouvoir choisir mes partenaires. Il se trouve que Jonathan faisait partie des suggestions de la production. Il a été mon premier choix. Jonathan est un acteur brillant, l’un des plus doués de sa génération. Il peut tout faire et ses performances le prouvent, car elles sont toujours crédibles, réussies et diversifiées. Je pense qu’il a un grand avenir devant lui.

Jonathan Rhys Meyers : Dans la filmographie de John, il y a des films que j’adore. Pulp Fiction évidemment, d’abord parce que c’est une performance d’acteurs et aussi parce que quelque part, avec From Paris with love, un nouveau genre de cinéma est né. Grease est un film « énorme » pour moi lié à mon enfance. J’ai grandi en Irlande à une époque où il n’y avait pas de DVD alors lorsqu’un film comme celui là était diffusé à la TV, c’était la famille au grand complet qui se réunissait pour le voir. Saturday night fever aussi. C’est un film génial dans lequel j’aime la musique, les costumes, les chorégraphies. En fait j’aime tout dans From Paris with love. Il y a Volte / Face également, le film de John Woo où l’interprétation de John est une vraie performance d’acteur.

John Travolta : En fait nous nous sommes construits d’une manière très différente et nous avons chacun nos trucs pour bluffer la caméra mais je voudrais juste ici souligner la performance hors du commun de Jonathan dans Match Point. C’est difficile de faire mieux et comme beaucoup, il m’a époustouflé.

-Pouvez-vous décrire chacun le personnage de l’autre ?

Jonathan Rhys Meyers : Le personnage de Charlie Wax qu’interprète John est un mec dont les filles devraient éviter de tomber amoureuses car c’est quelqu’un de totalement « déjanté ». Il tire sur tout ce qui bouge, il continue ses interrogatoires à la morgue, il laisse derrière lui un nombre de cadavres assez hallucinant tout au long du film et il étripe aussi, de temps en temps, pour protéger Reese, mon personnage... Wax devient rapidement une sorte de mentor pour Reese et il y a d’ailleurs une curieuse relation père-fils qui s’installe entre les deux : Wax s’amuse par exemple à choquer Reese en lui faisant croire que tuer est un acte totalement naturel chez lui..
Wax n’est vraiment à l’aise que lorsqu’il gère des situations dangereuses, c’est vraiment son créneau. A ce moment là, il devient une sorte de danseur étoile sur scène. Le danger, c’est comme une drogue pour lui, il en a besoin. C’est la raison pour laquelle il voyage à travers le monde, qu’il n’a ni femme, ni enfant et qu’il s’engage continuellement dans ce genre de conflits.

John Travolta : Le personnage de Reese qu’interprète Jonathan est à peu près l’opposé de Wax, mais il a du potentiel, celui de devenir comme Wax, au moins dans certains domaines et mon boulot (celui de Wax) c’est de le faire évoluer ! Reese est un gentleman, autodidacte, très brillant intellectuellement. Il possède toutes les qualités que Wax n’a pas. Il est élégant, sophistiqué, attentionné mais son coeur est son point faible car il peut véritablement tomber amoureux et y croire, ce qui le rend vulnérable. Cette vulnérabilité peut être un danger et du coup une responsabilité pour Wax qui, je pense, aime le fait que Reese ait cette sensibilité. Reese incarne le romantisme dans le film. Il doit gérer les dualités de la personnalité de son co-équiper et les siennes également. Reese est un tueur en sommeil. Wax le sait et va réveiller cet instinct.
En fait on s’aperçoit que si Reese devait se battre par amour, il deviendrait un soldat romain, bien meilleur que Wax. Reese est aussi un homme qui doit avoir de bonnes raisons pour agir, pour tuer, pour aimer, pour tuer par amour. Tout doit être clair dans son esprit, il doit savoir pourquoi il agit, pour quelles raisons. Reese est également guidé par la morale. Il refuse qu’on lui demande de faire des choses immorales et méprise le comportement de Wax qui a tendance à justifier son éthique un peu particulière par ses excellents résultats.

Enfin Reese a une vraie capacité à se confronter au « mal » que Wax met sur sa route. Cela devient de plus en plus compliqué tout au long du film mais il est capable de le faire, c’est simplement une prise de conscience pour lui et Reese va accepter que Wax l’entraîne dans une aventure où jamais personne ne l’aurait amené."

=}Source:
http://www.commeaucinema.com/notes-de-prod/from-paris-with-love,111447-note-75160

Oyez, oyez braves gens! Le film sort aujourd'hui (en France, moi je dois attendre jusqu'au 24 pour le voir... From Paris with love (sortie le 17 février 2010) Kopfschuettel

From Paris with love (sortie le 17 février 2010) Kopfschuettel

)au ciné. Alors je veux voire tout le monde dans les salles !

Bonne journée. sunny

Ma pauv ' Titi . Patience; courage , plus qu'une semaine; tu verras, ça passe à toute vitesse . En tout cas , j'irai à la séance de 19h30 aujourd'hui, sauf imprévue de dernière minute, mais je compte bien faire parti de ces fans qui font exploser les premiers résultats , sachant qu'ils les attendent avec impatience, et ceux, jusqu'à l'ultime séance de minuit à Paris .

Je ne sais pas ou ils se trouvent en ce moment, mais ma Titi, surveille ta télé et les émissions ciné; peut-ètre iront-ils faire la promo du film en Suisse?

Tu pensera à moi ce soir? From Paris with love (sortie le 17 février 2010) Icon_wink

Je pense qu'il vont en parler en Suisse. Je sais déjà qu'à la radio il vont en parler la semaine prochaine.

Merci Maxou pour ces interviews de jonny et John. Grâce à eux on connait mieux les personnages. ça donne vraiment envie de voir le film (vivement le 24!!!)

Hello tout le monde! J'ai une bonne nouvelle! Le DVD devrait sortir le 16 juin. From Paris with love (sortie le 17 février 2010) Icon_bounce

Me réjouis !!!! From Paris with love (sortie le 17 février 2010) Icon_cheers

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» PS:I love you (sortie le 7/02/08)